Lors de sa présentation officielle ce mercredi, Carlo Ancelotti a confirmé que Zinédine Zidane sera l’un de ses adjoints au Real Madrid.
Zinédine Zidane sur le banc du Real Madrid. Il va falloir s’y habituer. Même s’il n’endossera pas le costume d’entraîneur principal, l’ancien numéro 10 de l’équipe de France sera bien l’un des adjoints de Carlo Ancelotti. L’ancien coach du PSG a vendu la mèche ce mercredi lors de sa présentation officielle à la presse à Santiago Bernabeu : «Zidane a été un joueur fantastique et maintenant, il a décidé d’avoir un rôle d’entraîneur. Je suis très heureux de travailler à ses côtés. Ce sera un très bon adjoint, en plus de mon adjoint habituel, Paul Clément»,a déclaré le technicien italien avant d’ajouter avec humour : «Zidane sera sur le banc. Le problème, c’est qu’il ne pourra pas jouer». Ancelotti sait de quoi il parle. Les deux hommes se connaissent bien. Entre 1999 et 2001, Ancelotti est passé par la Juventus Turin où évoluait un certain Zidane au poste de meneur de jeu.
Cette association, c’est un attelage de grande classe. Elle a le mérite de contenter les socios, pas vraiment emballé par l’hypothèse Ancelotti ces dernières semaines après le départ de José Mourinho à Chelsea. Il s’agit surtout d’une suite logique dans la nouvelle carrière que souhaite embrasser Zidane. Conseiller spécial du président Florentino Pérez depuis 2011, «Zizou» aspirait depuis longtemps à se rapprocher du terrain. Ces deux dernières années, le champion du monde 98 a suivi une formation de manager de clubs professionnels, au Centre de droit et d'économie du sport (CDES) de Limoges. Il a également passé ses diplômes d’entraîneur. Le tout en étant au contact de Mourinho,«le meilleur entraîneur» à ses yeux.
La «decima» comme objectif
Il y a quelques semaines, alors que l’arrivée de Carlo Ancelotti à Madrid était dans l’impasse suite au refus du PSG de le libérer, l’idée de confier les clés de l’équipe première au Français avait même été évoquée par le président Pérez. Finalement, Zidane prend du galon, sans sauter les étapes. Sans être en première ligne trop rapidement. Car les objectifs fixés à Ancelotti par le Real sont élevés. «L'histoire, la tradition de ce club c'est un jeu offensif, un jeu spectaculaire et nous allons travailler pour pouvoir jouer un football qui puisse rendre heureux les supporteurs», a indiqué le nouvel entraîneur du Real, conscient de la tâche qui l’attend après l’année tumultueuse que vient de connaître le club. Un football attrayant certes. A condition que les résultats suivent. Ancelotti et Zidane le savent pertinemment, la «decima», la dixième Ligue des champions, est dans toutes les têtes madrilènes. «La «decima» est un grand objectif. J'ai l'ambition, la responsabilité de cela, admet Ancelotti. C'est une motivation si grande que cela peut aider à travailler».
Il y a quelques semaines, alors que l’arrivée de Carlo Ancelotti à Madrid était dans l’impasse suite au refus du PSG de le libérer, l’idée de confier les clés de l’équipe première au Français avait même été évoquée par le président Pérez. Finalement, Zidane prend du galon, sans sauter les étapes. Sans être en première ligne trop rapidement. Car les objectifs fixés à Ancelotti par le Real sont élevés. «L'histoire, la tradition de ce club c'est un jeu offensif, un jeu spectaculaire et nous allons travailler pour pouvoir jouer un football qui puisse rendre heureux les supporteurs», a indiqué le nouvel entraîneur du Real, conscient de la tâche qui l’attend après l’année tumultueuse que vient de connaître le club. Un football attrayant certes. A condition que les résultats suivent. Ancelotti et Zidane le savent pertinemment, la «decima», la dixième Ligue des champions, est dans toutes les têtes madrilènes. «La «decima» est un grand objectif. J'ai l'ambition, la responsabilité de cela, admet Ancelotti. C'est une motivation si grande que cela peut aider à travailler».
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire